Sculpture située dans le jardin des Ursulines
1992

Réalisée dans le cadre du Symposium de sculpture de Trois-Rivières « Phare sur le fleuve », l’œuvre s’inspire de l’hélice d’un bateau et du paysage industriel.
Elle évoque l’incertitude que provoque l’univers industriel, entre le progrès et le chaos. Pour l’artiste, cette œuvre est une affirmation de la liberté et une vision de la gravité sans pesanteur.

Œuvre restaurée en 2024.

©Liliana Berezowsky, 1992. Collection Ville de Trois-Rivières.

Installation sculpturale située sur l’Allée piétonne de la rue Hart
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)
2023

Occupant deux espaces, cette installation sculpturale réfère aux éléments de la nature et à l’histoire industrielle de Trois-Rivières, suggérant par ses formes des arbres qui se multiplient dans l’espace, comme une petite forêt. Par un jeu de miroirs et de réflexion de lumières, certains éléments de l’œuvre donnent l’illusion d’une perspective et d’une profondeur infinie. D’autres éléments deviennent des constellations de lumières tout en rappelant la verticalité des arbres.

Œuvre réalisée dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments publics et des sites gouvernementaux.

©Mathieu Valade (détail), 2023. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située sur la promenade du Saint-Maurice, à proximité du 4045, boulevard des Chenaux
2005

Cette sculpture en acier et en verre est un hommage au combat et à la souffrance vécus par de jeunes décédés. À la manière d’un miroir, la répétition de motifs sur le verre illustre un reflet de la vie, une réflexion sur l’amour de l’artiste pour les siens ainsi que pour les arts.

Maître d’œuvre : Denis Cadotte
Don de l’artiste à la Ville de Trois-Rivières en 2022.

©Thérèse Thibodeau Paquin, 2005. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située à l’extérieur du Colisée Vidéotron
2022

Dynamique comme les sports de glace, l’œuvre empreinte de vivacité se matérialise en un catalyseur d’énergie référant à la notion de vitesse de réaction. À mi-chemin entre l’explosion et l’implosion, la structure attire le regard par son cinétisme et ses matériaux miroitants. L’œuvre résonne avec la vocation familiale et sportive de son environnement.

Assistant à la réalisation : Atelier du Bronze

Œuvre réalisée dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments publics et des sites gouvernementaux.

©Marc-Antoine Côté, 2022. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située au Parc du Platon
2022

En forme de « V » comme « victoire », l’œuvre souligne le 150e anniversaire du 12e Régiment blindé du Canada et son patrimoine régional comme bataillon d’infanterie à l’origine puis comme unité blindée depuis l’aube de la Deuxième Guerre mondiale. Il rend hommage à tous ceux et celles qui ont servi au sein du Régiment depuis sa création le 24 mars 1871. À la fois esthétique et symbolique, l’ensemble présente un caractère universel et intemporel.

Don du 12e Régiment blindé du Canada à la Ville de Trois-Rivières en 2022.

©Roger Gaudreau, 2022. Collection Ville de Trois-Rivières

Sculpture située à la place d’accueil du parc portuaire
1984

Cette oeuvre cinétique symbolise le conifère et les voiles de bateau. L’artiste s’est inspiré des éléments de la nature tels que le fleuve et la forêt qui ont contribué à bâtir la ville de Trois-Rivières. L’œuvre a été réalisée lors des travaux d’aménagement du parc portuaire de Trois-Rivières par le gouvernement du Canada en 1984.

Œuvre restaurée en 2021.

©Jean-Jacques Besner, 1984. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située au parc Robert-Bourassa
1991

Cette sculpture évoque l’activité de la drave, aujourd’hui disparue, sur la rivière Saint-Maurice. Une époque marquante alors que le transport des billots de bois de 4 pieds, appelés pitounes, se faisait sur les rivières pour alimenter en bois les usines de pâtes et papiers. Une époque où Trois-Rivières portait fièrement le titre de la Capitale mondiale du papier journal. Une œuvre qui veut rendre hommage au courage des draveurs.

Don d’Anne-Marie Simard-Pagé, fille de l’artiste, à la Ville de Trois-Rivières en 2021.

©Lewis Pagé, 1991. Collection Ville de Trois-Rivières.

Oeuvre murale située sur la côte Plouffe
2009

La Fresque de Trois-Rivières est la plus grande de sa catégorie. Avec ses 760 m2 de peinture réaliste et en trompe-l’œil, c’est la plus grande fresque au contenu historique de la province.

Œuvre restaurée en 2020.
Plus d’informations sur la Fresque

©Murale Création, 2009. Collection Ville de Trois-Rivières. Photo : Étienne Boisvert

Installation située sur l’esplanade de l’Amphithéâtre Cogeco
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)
2017

Cette oeuvre cinétique, composée de 1 400 cuillères pivotantes déployées sur 41 mètres de clôture, rappelle les nuages d’organismes planctoniques marins qui s’illuminent lorsqu’ils s’agitent. Comme une multitude de girouettes, les cuillères se positionnent au gré du vent ou selon la fantaisie des spectateurs. Les couleurs vivantes et réfléchissantes invitent au spectacle, au jeu et à la contemplation.

©Martin Brousseau, 2017. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située sur l’avenue des Draveurs.
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)
2016-2017

L’estacade témoigne de notre histoire, du temps où la forêt fut transportée par les flots de la rivière Saint-Maurice, jusqu’à la capitale du papier. En hommage aux hommes et aux femmes de tous les métiers qui ont érigé la cité des Trois-Rivières.

Avec la participation des programmes de fonderie, ébénisterie, charpenterie, soudage, électromécanique du Centre de Formation professionnelle Qualitech.

Don du Centre de Formation professionnelle Qualitech à la Ville de Trois-Rivières en 2017.

©Nathalie Giguère, Florence Lefebvre, Luk Marchand, 2016-2017. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située sur l’esplanade de l’Amphithéâtre Cogeco
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)
2016

Minimaliste, montrant l’intérêt de l’artiste pour les structures, celle-ci délicatement dressée compte 594 anneaux soudés. Son positionnement semble être l’arrêt instantané d’un mouvement de balancement. L’œuvre vient à former un point de fuite intangible, mais imaginable donnant l’impression que l’œuvre se poursuit encore et encore. On peut y voir l’idée d’une colonne altérée, la forme d’une corne de brume ou les voiles d’un voilier.

Œuvre réalisée dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments publics et des sites gouvernementaux.

©Ludovic Boney, 2016. Collection Ville de Trois-Rivières. Photo: Étienne Boisvert

Installation sculpturale située au parc de l’Amphithéâtre Cogeco.
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)
2016

Les 13 bancs artistiques s’apparentent à un ruban rectangulaire qui se courbe par endroits, évoquant les vagues, des embarcations diverses et le pont. Les bancs simples pointent vers le fleuve et les bancs doubles vers la rivière. Ils sont fixés sur des bases en aluminium dont le design s’apparente à l’architecture navale. Par des sentiers, les bancs sont reliés aux lettres monumentales qui touchent au sol.

Poèmes : Guy Marchamps
Gravure des textes : Les Monuments Jean Boucher inc.

©Roger Gaudreau, Guy Marchamps. 2016. Collection Ville de Trois-Rivières. Photo : Étienne Boisvert

Oeuvre murale située à la gare maritime
2016

Cette anamorphose représente un corégone, poisson apparaissant sur les armoiries de la Ville de Trois-Rivières, également totem des premiers occupants des lieux, les Attikameks. Ce poisson fait référence à la ville, à son histoire, au fleuve ainsi qu’à la vie maritime présente dès les premiers occupants. En se déplaçant, nous voyons le corégone dans un effet de distorsion comme s’il était sous l’eau, jusqu’à le voir apparaître devant nous au point de vue idéal (situé près de la plaque au sol devant la Gare maritime) pour voir l’illusion d’optique parfaite. L’anamorphose est une déformation réversible d’une image à l’aide d’un procédé mathématique. L’image se recompose à un point de vue préétabli et privilégié. Elle peut être vue sans déformation à partir d’un endroit précis.

©Richard Purdy, 2016. Collection Ville de Trois-Rivières. Photo : Olivier Croteau

Installation sculpturale située à l’extérieur de l’Église St.James
2016

Deux personnages grandeur réelle tentent de se regarder l’air de jouer, essayant de se découvrir, cherchant à capter le regard de l’autre en s’extrayant légèrement de l’enceinte qui les accueille. Inspirée de la statuaire traditionnelle, l’œuvre fait écho à la nouvelle vocation culturelle du bâtiment en évoquant l’idée d’expression, de gestes et de mouvements propres aux arts de la scène et au théâtre.

Œuvre réalisée dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments publics et des sites gouvernementaux.

©Annie Pelletier, 2016. Collection Ville de Trois-Rivières.

Installation située sur le boulevard du Carmel
2015-2016

Cette œuvre représentant un cheval et son jockey rappelle le site du terrain de l’Exposition et de l’hippodrome situés à proximité. Construite à la manière d’un flip book, l’œuvre crée une illusion d’optique alors que le cheval et son jockey semblent suivre les passants et les automobilistes. Ce même mouvement qui anime l’œuvre est un rappel à la circulation qui anime le boulevard du Carmel.

©Annie Pelletier, 2015-2016. Collection Ville de Trois-Rivières.

Installation située à l’extérieur du Centre des loisirs Michel-Veillette
2015

L’oeuvre se présente comme un signe métaphorique. Elle puise ses référents dans la mission du Centre des loisirs et dans l’histoire de la photographie. Permettant de questionner le développement humain, la dynamique de la société et la construction des réalités en utilisant des référents qui appartiennent au milieu des utilisateurs. Les disciplines représentées sont le soccer, le baseball et la boxe. Les couleurs rappellent l’identification de différentes équipes sportives.

Œuvre réalisée dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments publics et des sites gouvernementaux.

©Daniel Dutil, 2015. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située sur l’Allée des Trifluviennes
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)

Trois formes portent un total de six voiles, chacune symbolisant les anciennes municipalités unifiées en 2002. Les volumes rappellent la forme de bateau signifiant l’ouverture de Trois-Rivières sur le fleuve Saint-Laurent tout en faisant référence à l’architecture de la Nouvelle-France. Le revêtement au sol dessine les frontières de ces anciennes municipalités. Le choix d’une couleur plus foncée pour le secteur de Trois-Rivières souligne que son nom a été conservé pour désigner la nouvelle ville.

©Martin Brousseau, Jean-Marie Gagnon, 2015. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située sur l’Allée des Trifluviennes
(Trois-Rivières sur Saint-Laurent)

©Lynda Baril, la Fenêtre – Centre d’immersion aux arts, 2015. Collection Ville de Trois-Rivières.

Sculpture située au parc Victoria
1995

Cette oeuvre résulte d’un processus de création intuitif à la manière des sculpteurs inuits. Inspirée par la nature, l’artiste s’est laissé porter par les formes présentes dans la matière, modifiant toutes les surfaces. Toute en courbes, on peut y voir une référence au travail d’Henry Moore ou encore au rocher Percé.

Don de la famille Berthiaume à la Ville de Trois-Rivières en 2015.

©Chantal Berthiaume, 2015. Collection Ville de Trois-Rivières.